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Posts Tagged ‘Namibie’

Bonne fête des Mères !

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Retour en Namibie. Skeleton Coast, Swakopmund, Walvis Bay.

Skeleton Coast est la partie nord de la côte atlantique de la Namibie. Elle s’étend jusqu’à l’Angola. Cette côte devrait son sinistre nom aux carcasses de baleines et d’otaries laissées par les chasseurs sur les plages ainsi qu’aux centaines d’épaves de navires échoués et partiellement recouverts par le sable.

Au nord de Swakopmund, la réserve de Cape Cross abrite des otaries à fourrure par milliers. C’est bruyant, odorant, impressionnant et drôle.

A 50 km au sud de Swakopmund, se trouve Walvis Bay dont les salines accueillent d’immenses colonies de flamants roses.

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Walvis BayL’édifice le plus symbolique de Swakopmund est le bâtiment Hohenzollern
dominé par un atlas supportant le monde.

Les flamants roses des salines de Walvis Bay

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Thirsty

Aux aguets près du point d’eau, immobiles, silencieux, figés par la fraîcheur de l’hiver austral, on attend. On connait leurs lieux de prédilection, on connaît leurs horaires : les suprêmes rayons du soir ou les premières lueurs de l’aube. On est au rendez-vous.

L’attente, pleine de promesses et d’incertitude, est palpitante. Quand on les aperçoit enfin, l’instant de l’approche est magique, impressionnant, émouvant.

Ce qui frappe avant tout, c’est le silence de leurs allers et venues. Ils arrivent et repartent aussi discrètement et aussi promptement qu’ils sont venus.

Oubliés le froid, l’attente, les heures de sommeil sacrifiées ! Sublime !

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On nous avait prévenus. En Namibie il y a 50 fois plus d’accidents de la circulation qu’en Europe. Aussi, séance vidéo obligatoire avant de monter dans notre véhicule de location !

Le document évoque l’omniprésence animale, les accotements non stabilisés, les pistes glissantes, les risques d’enlisement, etc. A la remise des clés, une hôtesse estampillée Europcar nous prodigue un ultime conseil de prudence : ne jamais dépasser 80km/h. Conseils que le Ministère de l’Intérieur namibien envisage avec laxisme puisque, à peine a-t-on quitté la zone aéroportuaire que fleurissent les premiers panneaux autorisant 100km/h sur piste et 120 sur la moindre portion bitumée.

Les premiers kilomètres, parcourus dans une solitude totale, nous font vite relativiser les conseils du loueur. Les pistes sont larges, damées et en relatif bon état. Foin des conseils de Mme Europcar, la tentation d’accélérer se fait plus pressante. On y cède, la voiture chasse, louvoie, tangue, avant de se remettre enfin en ligne et de retrouver une trajectoire plus ou moins rectiligne. On a compris. Désormais, la sagesse sera notre guide.

C’est à Solitaire sud qu’on trouvera la plus forte concentration automobile dont les clichés ci-dessous donnent un aperçu.

Panne fatale ou accident, leur dernier voyage les a laissées là, inertes et désenchantées, sur le bord de la route. Vestiges de la colonisation germanique, devenus partie intégrante du décor, ces vieilles bagnoles nous laissent encore entrevoir un peu de leur superbe.

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Avec ardeur et acharnement, le pinson déchiquète les rares fleurs patiemment cultivées et arrosées par les jardiniers du lodge.

Arbres et arbustes sont quasiment tous des épineux ; l’acacia protège ses feuilles avec des épines assez convaincantes.

namib_Panneau explicite à gauche. Nid d’oiseau tisserand à droite.

 Plus on descend vers le sud, plus il fait frais !

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Randonnée dans la région de Solitaire.

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Vue de la vallée, en fin de journée.

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Sur le chemin des dunes silicifiées.

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Criquet à armure et petit lézard.

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Aux confins des monts Naukluft et du désert du Namib.

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Cabane en paille ? Meule de foin ? Essaim géant ? Termitière épigée ?

Non, un nid, simplement un nid. Un nid collectif, un nid HLM en quelque sorte qui peut abriter jusqu’à cinq cents oiseaux.

Le nid est constitué d’une chambre centrale qui maintient une température nocturne constante, entourée de chambres périphériques occupées pendant la journée. Toujours en construction, ces nids sont habités toute l’année et restent en place plusieurs décennies.

Comme dans une ruche, l’agitation est y permanente ; on entre, on sort, on se bouscule, on pépie autour de cet impressionnant édifice en suspension (4m de haut et 7m de long pour les plus grands).

Le républicain social, petit passereau au plumage assez terne, passerait inaperçu s’il n’était l’ingénieux architecte et locataire de surcroît de ces incroyables nids qui font parfois plier les arbres. Cette espèce est endémique de l’Afrique australe et en particulier du Kalahari.

L’union faisant la force, les animaux se regroupent pour lutter contre leurs prédateurs ou tout simplement les conditions climatiques.

Et puis, lorsqu’il n’y a qu’un seul arbre à perte de vue… il faut bien se le partager !

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Les chambres de la périphérie.

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Pas d’arbre ?  Qu’à cela ne tienne, un poteau fera l’affaire !

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Républicain social

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Plumage en écailles caractéristique du républicain social.

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Etosha “pan”. Littéralement, la “poêle”. L’endroit porte bien son nom !

A l’origine, un grand lac salé dont il ne reste aujourd’hui que l’empreinte aride. Vu du ciel, c’est une immense étendue blanche et plate, dépourvue de toute espèce de végétation. Des girafes, des éléphants et de vastes troupeaux de zèbres, de gnous, de bubales, de grands koudous, d’impalas, de springboks ou d’oryx y déambulent ou se rassemblent autour des rares points d’eau qu’on trouve le long de la limite sud du parc.

C’est aux abords de ces points d’eau, dans la caillasse et la poussière, qu’on peut le plus facilement observer les animaux en début ou en fin de journée, dans un décor austère et fort éloigné de l’idée qu’un Européen se fait des paysages africains. Avec un peu de chance, on y aperçoit aussi rhinocéros, lions, léopards ou guépards.

Je suis partie avec un Nikon 5100 + deux objectifs (18-55 et 55-200) et un compact Panasonic Lumix DMC-TZ7. Un équipement pas vraiment adapté à la photographie animalière mais le budget global de l’aventure était un prétexte suffisant pour ne pas céder à la tentation d’investir dans le matériel.

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J’évoquais dans mon dernier billet quelques-unes de mes routes de prédilection. J’en ai, cette année, parcouru de nouvelles.

Au départ de Windhoek, Namibie, elles m’ont conduit du nord au sud, du parc d’Etosha au canyon de la Fish River, en passant par le Damaraland et le désert du Namib.

Un périple de 4500 km, dont plus de 3000 de pistes confortables mais poussiéreuses.

Une découverte d’un pays étonnant dont je rapporte des souvenirs et quelques clichés.

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Sur la route des dunes (Sossusvlei).

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Oryx dans le parc d’Etosha.

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Okaukuejo Rest Camp, parc d’Etosha.

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La piste dans la région de Sesriem près du désert du Namib.

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Écureuil fouisseur du Cap (xenus  inauris)

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