Dans mon carnet d’automne, il y a l’odeur tiède et âcre des sous-bois, les tapis de bogues aux pieds des châtaigniers, l’amanite et la girolle.
L’averse y bouscule l’or et le carmin et, de page en page, consciencieusement, les grues cendrées calligraphient leur migration.
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